L’influence que le Japon – sa culture aussi bien que son architecture – a exercée sur le célèbre architecte américain Frank Lloyd Wright, est avant tout visible dans ses propres créations. Contrairement à ses contemporains aux États-Unis qui considéraient l’architecture européenne comme faisant partie de leur héritage, Wright a pris le Japon et sa culture comme modèle pour son esthétique.
En 1906, il expose, à l’Art Institut of Chicago, la collection d’ukiyo-e (des oeuvres de Hiroshige) qu’il a commencée un an auparavant, à l’occasion de son premier voyage au Japon. Collectionneur, et il fut l’un des premiers en Occident, et incontournable marchand, Wright développe très tôt une théorie interprétative, The Japanese Print : an Interpretation. Publiée il y a tout juste 100 ans, cette interprétation est devenue à la fois une lecture essentielle pour les experts et les amateurs de l’art japonais et pour tous ceux qui veulent comprendre l’architecture de Wright.
Une édition exceptionnelle numérotée, à tirage limité ;
- 32 estampes en quadrichromie sur papier Munken Print Cream 150 g/m2,
dont 7 estampes sur dépliant ;
- Relié toile noir avec marquage blanc ;
- gardes Keycoulour noir 140 g/m2 ;
- tranche-fil assorti ;
- Magnifique étui toilé orange avec découpe rectangulaire sur le livre.
L’estampe japonaise, une interprétation, Frank Lloyd Wright
(Klincksieck, coll. L’Esprit et les formes)
prix de lancement : 99,00 € (jusqu’au 31.12.2012, 139 € après cette date)
144 pages + dépliant | 24×32 cm | relié sous coffret
à paraître le 22.10.2012
Fiche article sur bldd.fr (édition française)
Une édition courante en anglais sera aussi disponible à cette date :
Fiche article sur bldd.fr (édition anglaise)